Des nues - Christophe Willem.. en acoustique (sur Deezer)
Ephémère Eternité - Georges Moustaki(sur disque)
Ne t'en va pas - Linda Lemay... (émotion!)
"Les enfants sont comme les marins : où que se portent leurs yeux, partout c'est l'immense."
(Christian Bobin)
One de U2, mais je dois spécifier que je rejoue continuellement la même pièce, Sunday, Bloody Sunday, quel force cette chanson. Véritable cri pour la paix.
Sopid, encore en vie!
Pascale Picard - Gate 22 ... (son album est génial!)
le dernier album de christophe... Aimer ce que nous sommes
"Les enfants sont comme les marins : où que se portent leurs yeux, partout c'est l'immense."
(Christian Bobin)
"Quatre chants pour franchir le seuil", Gérard Grisey (compositeur).
Deux roses sur une branche... la première se fana et mourut... l'autre n'y survécut...
The Do et après, un peu de Yaël Naïm
Grandir avec Yoko...
Bardamu a écrit Une très belle musique tirée d'un anime japonais
==> Cliquez ici
Ça fait quelques fois que je trouve qu'on a, au moins pour la musique, des goûts qui se ressemblent, Bardamu.
Dans le rythme (surtout la percussion), l'influence (commerciale) américaine est apparente, mais pour la mélodie, surtout les passages instrumentaux, j'ai cru entendre une influence du maître Kitaro. Aussi, on reconnaît facilement l'influence du pentatonique, très usité en Asie orientale.
Une anecdote à propos de Kitaro. Depuis quelques siècles, une personne à la fois est, non officiellement, appelée "le vieux maître". Certains "vieux maîtres" de leur époque furent Monteverdi, Vivaldi, Haydn, Ravel... Et maintenant (ou tout au moins jusqu'à récemment), je crois que c'est Kitaro. Faut dire que son oeuvre est remarquable! Ce vieux compositeur et maître de la musique japonaise "classique" a décidé de se mettre aux techniques musicales du jour lorsqu'apparurent les techniques électroniques. Et il a composé des oeuvres remarquables de douceur et très mélodiques pour synthétiseurs commandés par système MIDI alors que cette technique était encore toute récente. Cet enregistrement a fait référence! Vraiment mélodiques et illustratives, tout en respectant (au moins dans l'esprit) la tradition pentatonique japonaise.
Moi, présentement, j'écoute la Fantaisie pour piano, choeurs et orchestre Op.80 de Beethoven. Le première fois que j'ai entendue cette oeuvre, sur "Radio Classique" à Montréal, elle m'avait vraiment frappé! Plus humble et plus simple que la 9ième symphonie, elle lui ressemble pourtant beaucoup, au point que plusieurs croient que c'aurait été comme un "brouillon" pour la 9ième. Puis j'ai eu la chance de mettre la patte, à la biblio municipale, sur une interprétation excellent de cette oeuvre par Anton Kuerti avec le Toronto Symphony Orchestra et les choeurs Mendelssohn (de Toronto également) sous étiquette CBC de Radio-Canada. Peu après je l'achetais... Et je ne le regrette pas!
A+
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Posté le lendemain
Présentement, je viens de visionner ce film touchant qui m'a été référé par un ami.
Le message est en espagnol (je crois, je n'en suis pas sûr) et il y a des sous-titres anglais. Mais à l'intention de nos membres qui ne comprennent ni l'une ni l'autre de ces langues, le carton dit
"Par pitié, je suis aveugle".
Et le passant le change pour
C'est une belle journée. Et je ne peux pas la voir.
(En cliquant sur "citer" sur mon post, vous pourrez lire les petits caractères.)
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Posté environ une semaine plus tard...
Serge Reggiani.
Quel interprète de génie!!! Des chansons qui seraient pour d'autres un défi insurmontable, comme "La dame de Bordeau" de Vidalie et Datin semblent faciles! Douce chanson d'un amour frivole dans une interprétation dramatique! Une simlpe chanson de retrouvailles empreinte de simplicité et de joie devient un cantique grandiose et intemporel : "De quelle Amérique" de Dabadie et Datin.
Et cette autre chanson de Dabadie et Datin pleine d'élan et d'une énergie qu'on associe généralement à la jeunesse pour parler du temps qui avance, impitoyablement, joyeusement...
Et puis... et j'allais dire déjà
L'enfance se fait lointaine
Comme un pays d'où l'on s'en va
Je ne vois plus qu'à peine le rivage...
Il y a des personnes qui pleurent en apprenant que les roses ont des épines.
D'autres se réjouissent quand ils savent que les épines portent des roses
Une superbe musique tirée de la BO du film "Dune" (David Lynch). Fermez les yeux, écoutez la et imaginez que vous voyagez à travers l'immensité spatiale...
Edité jeudi 07 août 2008 : 22:39 par Bardamu
Léo Ferré - L'Opéra du Pauvre (pour voix, chant et orchestre)
"Les enfants sont comme les marins : où que se portent leurs yeux, partout c'est l'immense."
(Christian Bobin)
Rachel Lutrell (Teyla dans Stargate Atlantis): Beyond the night.
Chanson chantée dans l'épisode Crtical Mass de la saison 2.
Lien pour le clip:
http://www.freeclyde.com/video_bytes/beyond_the_night.html
Membre de :
"Ceux qui y sont arrivés 2 fois"
Je viens d'écouter "Fantaisie pour piano, choeurs et orchestre Op.80 de Beethoven" et c'est vrai que c'est très, très beau... Merci Petite Fleur !
Edité lundi 11 août 2008 : 11:36 par cehel2
Edité lundi 11 août 2008 : 11:37 par cehel2
Today, j'écoute "possibilité d'une île", de la première dame de France... (carla Bruni)...
"Les enfants sont comme les marins : où que se portent leurs yeux, partout c'est l'immense."
(Christian Bobin)
"Unleash" de l'album "Conquer", le tout dernier Soulfly!!!
"Lost, a lion came and said :
"Come, on the brink of the abyss"
Watch my feet
swinging in the great empty one
Babel d'escaliers et d'arcades
c'était un palais infini
No one else is able now to play
with the answers
And I open, my mind is so clear
There's a door in the wall of time..."
"Vivant poème" de Barbara...
Et aussi http://www.youtube.com/watch?v=AWstzfJXRBA&feature=related
et celui-ci http://www.youtube.com/watch?v=p0QNcH4urGE&feature=related
"Les enfants sont comme les marins : où que se portent leurs yeux, partout c'est l'immense."
(Christian Bobin)
Led Zeppelin- Achille's Last Stand
Wir sind nicht gestorben. Wir haben nie gelebt.
le doux ronronnement de mon chat...
"Les enfants sont comme les marins : où que se portent leurs yeux, partout c'est l'immense."
(Christian Bobin)
Sinéad O'Connor - Curly Locks
Wir sind nicht gestorben. Wir haben nie gelebt.